I may look calm but in my head, I killed you three times! Mike Secker.

Michaela June Secker
▲Evrything will be okay in the end. If it's not okay, it's not the end.▲

NOM : Secker PRÉNOMS(S) : Michaela June AGE : 27 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 7 Novembre, Londres OCCUPATION/ETUDES : Assistante dans une galerie d'art ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuelle quand ça lui chante STATUT : Célibataire TRAITS DE CARACTÈRE : Douce ▬ Têtue ▬ Spontanée ▬ Souriante ▬ Indécise ▬ Protectrice ▬ Serviable ▬ Susceptible ▬ Curieuse ▬ Dépensière ▬ Pragmatique ▬ Impatiente ▬ Exigeante ▬ Méticuleuse ▬ Flegmatique ▬ Sociable ▬ Ouverte d'esprit ▬ Noctambule
GOÛTS : Aime les grâce matinée et les soirées endiablées; Ne peux pas se passer de son capuccino en fin d'après-midi; Traîne beaucoup dans les bouquineries; Déteste conduire en ville; S'endort souvent devant la télé; Danse parfois toute seule chez elle, la musique à fond; Raffolle de la nourriture asiatique; Ne supporte pas que qui que ce soit ou quoi que ce soit empiète sur sa pause déjeuner; A toujours une bouteille de vin chez elle; GROUPE : Unsettled Valentine

VOTRE PSEUDO : Polka VOTRE AGE : 19 ans OU AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM : En tombant par hasard sur la fiche pub sur PRD CE QUE VOUS EN PENSEZ : Comment peut-on en penser du mal ? (Par contre, où est passé le contexte @_@?) AVATAR : Imogen Poots CRÉDITS D'IMAGES : Tumblr CODE A REMPLIR :

Code:: Imogen Poots ▲ Michaela June Secker

Tell me your story.

« Pitié ! Mais vous croyez vous-même aux conneries que vous racontez ? » L'homme sur l'estrade se tût et tout le monde se retourna vers celui qui venait d’interrompre la séance. Il devait avoir une trentaine d'année, peut-être plus, peut-être moins ; Michaela l'avait déjà remarqué en arrivant. Depuis le début, il avait la mine agacée de ceux qui se demandaient ce qu'ils fabriquait là, mine qu'elle, essayait de cacher du mieux qu'elle pouvait.
Un silence d'aplomb régnait désormais dans la petite salle tandis qu'elle-même se donnait du mal ne pas pouffer de rire. Peine perdue. Elle aussi essuyait désormais les regards réprobateurs de l'assemblée pendant que l'autre type, resté sur l'estrade, n'essayait même plus de reprendre son témoignage, se contentant de fixer les deux perturbateurs avec des yeux mi-choqués, mi-embarrassés. Mais qu'y pouvait-elle ? Elle n'avait jamais souhaité assister à ce genre de réunion.
Elle ne s'était jamais considérée comme « en deuil » ou quoi que ce soit. Pendant quelques semaines, des cellules s'étaient multipliées dans son estomac avant de se désintégrer d'elles-même. C'était ainsi qu'elle voyait les choses. Elle n'avait jamais su qu'elle était enceinte. Et quand bien même ça aurait été le cas, elle n'aurait pas gardé l'enfant. Sa seule erreur avait été de faire une fausse-couche lors d'un de ces stupides déjeuners familiale et au passage, d'abîmer le tapis persan que sa mère chérissait tant.
Dès lors, cette dernière lui avait conseillée (pour ne pas dire obligée) de s'orienter vers « vivre son deuil », afin, selon ses propres dire , « d'extérioriser l'expérience traumatisante qu'elle venait de vivre ». Depuis, Mike se rendait une fois par semaine à ces réunions du style alcoolique anonyme où elle écoutait les déboires de gens infiniment plus malheureux qu'elle.

Michaela – Mike pour les intimes- Secker n'avait jamais su dire non à sa mère. Ce n'était pourtant pas le genre de fille à se laisser faire aussi facilement. Mais lorsqu'il s'agissait de sa génitrice, c'était une tout autre histoire.
Lorsqu'on lui demandait, elle répondait simplement que c'était la perspective de se faire injustement punir qui la traumatisait toujours jusqu'à présent. Mais quel qu'en soit la véritable raison, Rebecca Secker était ce genre de personne qu'il valait mieux éviter de contrarier. Et sa fille suivait ce précepte à la lettre.
Ça avait toujours été une bonne maman. Stricte, rigide et autoritaire certes...mais une bonne maman tout de même, qui avait essayé de donner à ses enfants la meilleure éducation possible. Et si cela impliquait de se mêler de leur vie et d’essayer d'en régler, les moindres détail, et bien soit.
Ça avait toujours été ainsi. Will, son frère aîné, avait essayé de se rebeller face à ce système matriarcale. Il avait finit en prison et Michaela elle, par grandir dans un environnement étriqué où , la décision finale des choix qu'elle faisait ne lui revenait que rarement.
Petite, elle aurait aimé faire de la batterie, ; Elle s'était retrouvé à jouer du triangle dans la fanfare de l'école. Dans ses projets d'avenir, elle avait prévu d'étudier l'ethnologie ; Elle avait finit major de sa promotion en histoire de l'art. Et aujourd'hui, elle bossait dans une galérie d'art. C'est chic, ça fait classe, bon genre, cultivé, ça lui permet de rencontrer du monde, ~~ça rapporte des clopinettes~~.

Oh bien sur, elle ne se plaignait pas. De quoi aurait-elle pu après-tout ? Au final, elle aimait bien son boulot, n'avait aucun « gros » problème financier (juste des petits) et elle faisait partie de ces privilégiés qui n'auraient probablement jamais à ce soucier de ce que la vie leur réserverait. Il y avait quelqu'un d'autre pour.
La situation était pesante, elle le savait. Mais jamais n'aurait-elle fait quoi que ce soit pour la changer. Elle savait que si sa mère essayait de tout gérer ainsi, c'était pour se persuader qu'il y avait encore des choses sur lesquelles elle pouvait garder le contrôle.
Et surtout, Michaela était l'image la plus reluisante d'une famille dont la réputation avait déjà été bien entachée. Alors , elle jouait les filles parfaites , quitte à se prendre régulièrement des remarques sur sa vie amoureuse ; Savoir que sa fille était le genre de personne qui se faisait bêtement engrosser par le premier inconnu rencontré dans un bar ne la réjouissait pas plus que ça.

«Mike ? »La jeune-femme n'en croyait pas ses oreilles ! Ça faisait six mois qu'elle n'avait plus eu de ses nouvelles. A quel moment lui avait-elle donné son numéro de portable ? « Une seconde ! » Lança-t-elle avant de courir s'enfermer dans la salle de baim. C'était le premier déjeuner familiale depuis que Will était sorti de prison et le salon était rempli. « Seth ? C'est toi ?? Oh mon dieu, comment ça va ? » «Ma femme est morte. » « ...tu es où ? » «Barts. » « J'arrive ! » Et sans attendre un instant de plus, elle descendit les escaliers par quatre, prétexta une urgence et claqua la porte derrière elle en ignorant les réprobations. Elle n'allait pas trop manquer à la table, après-tout : il y avait de nouveau quelqu'un d'autre pour subir les invectives de leur mère.
Seth n'était pas vraiment un ami. Il avait assisté à quelques réunions même si après son coup de gueule, il n'avait plus jamais pipé mot lors des séances. Néanmoins, sa langue se déliait volontiers lors des pauses durant lesquelles il discutait souvent avec la blonde. Jamais de sujets personnelles ni même des raisons qui les emmenaient en ces lieux ! Quel temps faisait-il, la crise dans le monde, pourquoi les beignets de la pâtisserie d'à coté avait un goût bizarre...tout était sujet à la conversation. Ça leur faisait du bien à tous les deux. Et puis un jour, il n'avait plus donner signe de vie, et Michaela avait cessé d'y aller.
C'est pour ça qu'elle avait été surprise en entendant sa voix au téléphone. Elle ne savait même pas qu'il avait une femme. Mais surtout, elle ne savait même pas pourquoi elle se précipitait ainsi pour lui.

«Allô, 'Man? C'est moi! » Son interlocutrice lui raccrocha au nez. Apparemment, elle lui en voulait toujours. Mike haussa les épaules : ça ne la dérangeait pas plus que ça au final, ça lui passerait bien à un moment. Elle n'arrivait plus à s'attarder sur ce genre de détail, trop occupée à jouir de la récente liberté qu'elle venait d'acquérir.
La jeune blonde rangea son portable avant de se diriger vers le petit appartement qu'elle partageait désormais avec Seth. Ils vivaient ensemble. Ou plutôt, elle vivait chez lui en échange d'un loyer qu'elle payait. Des fois. Quand elle y pensait. De toute manière, Seth lui-même avait l'air de s'en foutre royalement.
C'était temporaire, mais sa mère avait failli en faire une attaque. Mike, elle n'avait simplement pas voulu le laisser seul après le décès de sa femme. Alors elle jouait plus les gardes-malades à domicile qu'autre chose. Elle vérifiait qu'il mangeait correctement, qu'il prenait la peine de se reposer. Bon, il n'était pas non plus suicidaire (du moins, il ne semblait pas l'être), mais elle préférait être là « au cas où », plutôt que de le regarder se terrer dans son appartement. Entre paumés, ils devaient se comprendre. C'était un peu étrange comme situation, mais ça lui convenait. Pour la première fois de sa vie, elle pouvait savourer son indépendance.

bienvenue

bon courage pour ta fiche !

Bienvenue par minou ! Je me suis occupé du contexte effectivement, je n'avais pas fais attention à le remettre en place, toutes mes excuses.
J'espère que tu vas te plaire ici et si tu as la moindre question, le staff est là pour toi ! superman

Nan, mais ne t'inquiète pas, j'en doute pas une seconde que tu es gentille, j'te remercie de m'avoir fais remarquer ce petit problème, moi qui croyais avoir tout vérifié avant l'ouverture -personne n'est parfait.
Bonne chance pour ta fiche en tout cas

Merci

!

Félicitations !

Tu viens d'être validé, tu peux désormais aller poster ici, ici, ici, ici & bien entendu commencer à rp. Si tu as le moindre problème ou la moindre question, n'hésite pas à contacter les admins & les modos, ils sont là pour ça.

J'aime beaucoup l'histoire de cette jeune femme que tu nous joues ici, j'ai hâte de voir comment sa relation et surtout comme cette cohabitation avec Seth se fait ! megusta

Le premier ministre.

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